HAARP


Ajouté le 21 Novembre 2007 à 19h16.

Catégorie : Divers | Vu 1857 fois.


HAARP
Le repère HAARP.

Coordonné GPS de HAARP : 62°23'30.22" N 145°09'04.37" W
Fichier .kmz (à ouvrir avec Google Earth) : haarp
Pays, ville : USA, Alaska

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En savoir plus, recherchez HAARP sur : Google et Google Image

Résumé : Le projet High Frequency Active Auroral Research Program, abrégé en HAARP, est un programme américain à la fois scientifique, civil et militaire de recherche sur l'ionosphère. Il est dirigé conjointement par l'armée de l'air et la marine des États-Unis et par l'Université de l'Alaska.

Fondé sur les découvertes scientifiques de Nikola Tesla, l'installation HAARP utilise notamment la technologie IRI (ionospheric research instrument) permettant de modifier localement l'ionosphère, par excitation via des ondes haute fréquence (HF), et ainsi d'étudier les modifications sur les communications longues distances.

Au XXIe siècle, la puissance installée est de 960 kW (la puissance finale prévue est 3.6MW) avec une ERP (puissance iradiée) de 84 dbW en utilisant actuellement 48 antennes du type dipôle. La gamme de fréquence utilisable est de 2,8 à 10 MHz. Deux des fréquences utilisées sont 3,99 MHz et 6,99 MHz.

Le site d'investigation est près de Gakona, Alaska (lat. 62.23° Nord, long 145.09° Ouest). Une aire importante de 180 antennes est en cours d'installation à un coût initial de 30 millions de dollars afin de faire une table de transmetteurs en phase, nommé IRI. HAARP est le 3ème site de recherche ionosphérique des États-Unis, les autres étant dans les environs de l'observatoire d'Arecibo à Porto Rico, et proche de Fairbanks en Alaska, la station HIPAS. La station de recherche Européenne EISCAT avec une puissance de 1000 MW (ERP) est située près de Tromsø, en Norvège. Une station similaire se trouve en Russie près de Nijni-Novgorod, avec une puissance de 190 MW, il s'agit de la station Sura.

Selon le site web dédié à ce programme (voir liens externes), cette installation a pour objectif d'étudier les propriétés de l'ionosphère. Plus particulièrement, elle permet d'étudier comment les perturbations de cette couche de l'atmosphère par les orages magnétiques affectent les communications radio mondiales, les systèmes de navigation par satellite ainsi que les réseaux de transport d'électricité sur de longues distances.

Avec ces installations, les chercheurs « tentent aussi de produire de petits changements temporaires sur une région limitée, directement au-dessus du site d'investigation, qui, en aucun cas, ne peut être comparable aux phénomènes globaux provoqués par les perturbations solaires. Les instruments, d'une sensibilité extraordinaire, installés à l'observatoire HAARP permettent de faire des corrélations détaillées à partir des effets limités ainsi produits, permettant une meilleure compréhension de la façon dont l'ionosphère répond à une grande variété de phénomènes naturels.»

Le projet HAARP est l'un des dossiers favoris des adeptes de la théorie du complot. Une rapide recherche sur le web permet de constater sur les sites dédiés, diverses « conspirations » où d'autres intentions sont prêtées à ce projet. Sa capacité d'influencer l'ionosphère serait beaucoup plus importante qu'admise officiellement. Ces 180 antennes (selon le site officiel qui parle de 48 en 2003 et de 180 dans le futur) permettraient un jour de faire des recherches pour pouvoir modifier la météorologie, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l'ionosphère. L'implication du ministère de la défense des États-Unis dans le projet, le manque d'explications précises sur l'utilité d'une telle installation et les doutes émis par plusieurs scientifiques internationaux alimentent le doute règnant sur l'objectif réel du projet. (Daily Express (16 juillet 2005; traduit de l'anglais par Chemtrails-France.com))


Cette théorie a été développée dans le livre Les anges ne jouent pas de cette HAARP (2003) par le docteur Nick Begich et la journaliste Jeane Manning.

D'autre part, la légende veut que Nikola Tesla ait eu conscience des dangers énormes d'une mauvaise utilisation de ses théories. Suite à cela, il aurait éparpillé ses notes de travail entre les États-Unis, l'Angleterre et la Russie, afin que son projet ne puisse être réalisé qu'avec l'accord et la coopération de ces grandes puissances.... Lire la suite (wikipedia)




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