Ligier-Prost


Ajouté le 17 Août 2007 à 15h45.

Catégorie : Entreprises | Vu 419 fois.


Ligier-Prost
Le siège social de Ligier-Prost.

Coordonné GPS de Ligier-Prost : 46°05'44.88" N 3°26'16.08" E
Fichier .kmz (à ouvrir avec Google Earth) : ligier-prost
Pays, ville : France, Hauterive

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Résumé : Ligier est un constructeur automobile français. Spécialisé dans la construction de voiturettes, Ligier est surtout connu pour son implication dans le championnat du monde de Formule 1 entre 1976 et 1996.

Ligier a été fondé par Guy Ligier, ancien pilote (12 Grand Prix de Formule 1 entre 1966 et 1967) apres avoir fondé avec d'autres associés une entreprise de travaux publics a vichy entreprise nomée ligier travaux publics qui remporta de nombreux marchés en travaux autoroutiers ,ponts, barrages aménagements . Il fonde en 1969 sa propre marque, destinée à engager des voitures en Endurance. Dès le premier modèle, toutes les Ligier de course auront comme nom de code un nombre précédé des initiales JS, en hommage au pilote français Jo Schlesser, grand ami de Ligier tragiquement disparu lors du GP de France 1968. Après avoir glané quelques succès en Endurance, Ligier engage sa marque en Formule 1 à partir de la saison 1976. L’épopée de Ligier en Formule 1 durera près de 20 ans.

Parallèlement à son engagement en sport automobile, la marque Automobile Ligier se fait connaître par la conception de voiturettes ne nécessitant pas le permis de conduire (si, à partir de 1992, Guy Ligier a progressivement revendu la majorité puis la totalité de ses parts de l’écurie de Formule 1, qui est devenue Prost Grand Prix en 1997, cela n’a pas affecté le reste de l’activité de "Automobiles Ligier"). En 2005 la marque Ligier a même effectué son retour à la compétition avec la JS49, prototype de course répondant à la réglementation du championnat d'endurance VdeV. Ligier a également conçu une Formule 3, mais cette dernière n'est encore jamais apparue en course.

Guy Ligier engage sa marque en Formule 1 à partir de 1976. Il bénéficie du soutien de la SEITA ainsi que du motoriste Matra. Jean-Pierre Beltoise effectue les premiers essais et les réglages de base, mais Jacques Laffite est finalement retenu comme pilote. Les premiers résultats sont plus qu’encourageants puisque la nouvelle écurie bleu de France décroche, grâce à Laffite, plusieurs podiums dès 1976.

En 1977, la jeune équipe peine à confirmer ses bons résultats de la saison précédente et enchaîne les contre-performances jusqu’au GP de Suède où, parti dans l’anonymat du peloton, Laffite décroche la première victoire des “Bleus” au terme d’une remontée inespérée. Ce succès sera la seule performance notable de l'année. La saison 1978 n’étant guère meilleure, Matra décide de quitter la Formule 1, ce qui oblige Ligier à se tourner vers le classique moteur Ford-Cosworth pour 1979.

1979 marque le début pour Ligier de la plus belle période de son histoire. Grâce à un chassis d’excellente qualité (la Ligier JS 11 dessinée par l’ingénieur Gérard Ducarouge a parfaitement intégré le principe de l’effet de sol si bien exploité l’année précédente par la Lotus 79) et grâce à un remarquable duo de pilotes (Laffite est désormais accompagné de Patrick Depailler), Ligier fait main basse sur le début de championnat et remporte trois des cinq premières manches de la saison. Malheureusement, cette domination ne dure pas. Réputé pour sa science de la mise au point, Depailler se blesse grièvement dans un accident de deltaplane peu avant la mi-saison. Combiné à des ressources budgétaires limitées, cela perturbe grandement le développement de la JS 11, dominatrice en début de saison mais inexorablement débordée par les Ferrari et les Williams au fil de l'année

En 1980, Ligier (désormais constituée du duo Laffite-Pironi) confirme son bel état de forme avec deux nouvelles victoires et une présence constante aux avant-postes mais sans pouvoir se mêler réellement à la lutte pour le titre mondial.

En 1981, et alors que l’équipe bénéficie de l’implication du groupe Peugeot (via Talbot-Matra), Ligier connait un début de saison très moyen mais les résultats décollent à partir de la fin du printemps. Laffite enchaine les places d’honneur et remporte deux victoires qui le relancent de manière inespérée dans la lutte pour le titre mondial. A la veille du dernier GP de la saison à Las Vegas, il est troisième du championnat avec une réelle chance mathématique d’être titré. Mais le miracle n’a pas lieu et Laffite doit finalement se contenter de la quatrième place au classement général.

En 1992, au terme d’une nouvelle saison loin des meilleurs malgré l’apport du V10 Renault, considéré comme le meilleur moteur du plateau, Guy Ligier revend la majorité des parts de l’écurie à l’entrepreneur Cyril de Rouvre (déjà vu en F1 en tant que propriétaire de l'écurie AGS de 1989 à 1991). Avec son nouveau propriétaire, l’écurie Ligier semble retrouver un nouveau souffle et la saison 1993 marque un indéniable retour en forme des voitures bleues, qui terminent le championnat à la cinquième place du classement des constructeurs (le meilleur résultat des Bleus depuis 1986). Mais l'implication de de Rouvre ne dure qu'une saison en raison d'ennuis judiciaires.

Lorgnant sur l’écurie française et notamment sur son moteur Renault depuis plusieurs mois, Flavio Briatore en devient le nouveau propriétaire majoritaire au printemps 1994. Étant par ailleurs le directeur sportif de l’écurie Benetton, Briatore installe à la tête de Ligier l’Ecossais Tom Walkinshaw. Ce dernier envisage de racheter à son tour l’écurie pour la déménager en Angleterre, mais le tollé médiatique provoqué en France par un tel projet l’oblige à quitter l’écurie début 1996. En mauvaise posture financière, sans repreneur crédible à l’horizon (la France s’est vigoureusement opposée au rachat de l’équipe par Walkinshaw mais aucun projet alternatif sérieux ne voit le jour), le sort de l’équipe Ligier apparait bien sombre jusqu’à la spectaculaire victoire d’Olivier Panis au Grand Prix de Monaco 1996. Cette première victoire de l’écurie française depuis près de 15 ans relance l’engouement médiatique autour du concept de “F1 à la française”. Dans les mois qui suivent, l’ancien pilote Alain Prost parvient à fédérer autour de lui plusieurs partenaires solides et mêne à bien son projet de rachat de l’écurie. La revente de l’équipe Ligier à Alain Prost par Flavio Briatore est officialisée le 14 février 1997. L’écurie est alors officiellement rebaptisée Prost Grand Prix.... Lire la suite (wikipedia)




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